Journal Québec
Une famille chinoise sauve un dépanneur du Bas-Saint-Laurent RIVIÈRE-BLEUE | En vente depuis deux ans, le seul dépanneur du village de Rivière-Bleue, dans le Bas-Saint-Laurent, passe entre les mains d’une famille d’origine chinoise, permettant d'assurer sa pérennité.
Une bénédiction, de l’avis du couple qui possédait le Ser-Max de Rivière-Bleue depuis 25 ans et aussi selon la municipalité, qui juge essentielle la présence d’un dépanneur au sein du village de 1300 habitants.
«Après plusieurs années de travail, mon conjoint Jean-Marc m’a dit, il y a deux ans: là, on ferme ou on vend, explique Noella Duval. Pendant deux ans, il y avait des intéressés, mais personne n’avait l’argent nécessaire pour acheter. On l’avait mis sur internet et c’est comme ça que les nouveaux propriétaires nous ont trouvés.»
Installés à Rivière-Bleue depuis le 13 avril dernier, les nouveaux propriétaires Pu Liang Yi et Ying Gui sont actuellement en mode apprentissage express pour apprendre à faire rouler leur nouveau commerce.
« Une bonne business »
Mécanicien en aéronautique, Pu Liang Yi a passé cinq ans au Canada au début des années 2000 avant de retourner en Chine en 2009 pour soigner son père malade. La famille est ensuite revenue à Québec en 2013, mais le couple n’arrivait pas à se trouver un emploi dans son domaine. «Nous savions que les dépanneurs, c’est une bonne business. Nous connaissons des gens qui travaillent dans ce domaine», explique-t-il.
Se débrouillant avec un français de base, le couple croit qu’il apprendra par la force des choses, la majorité des villageois de Rivière-Bleue étant francophones. Leurs deux enfants de 8 et 6 ans ont suivi leurs premiers cours à l’école du village cette semaine.
«Les gens d’ici sont très gentils et nous sommes prêts à relever ce défi. Actuellement, c’est beaucoup de travail pour tout apprendre, convient pour sa part Mme Gui.
Une famille chinoise sauve un dépanneur du Bas-Saint-Laurent RIVIÈRE-BLEUE | En vente depuis deux ans, le seul dépanneur du village de Rivière-Bleue, dans le Bas-Saint-Laurent, passe entre les mains d’une famille d’origine chinoise, permettant d'assurer sa pérennité.
Une bénédiction, de l’avis du couple qui possédait le Ser-Max de Rivière-Bleue depuis 25 ans et aussi selon la municipalité, qui juge essentielle la présence d’un dépanneur au sein du village de 1300 habitants.
«Après plusieurs années de travail, mon conjoint Jean-Marc m’a dit, il y a deux ans: là, on ferme ou on vend, explique Noella Duval. Pendant deux ans, il y avait des intéressés, mais personne n’avait l’argent nécessaire pour acheter. On l’avait mis sur internet et c’est comme ça que les nouveaux propriétaires nous ont trouvés.»
Installés à Rivière-Bleue depuis le 13 avril dernier, les nouveaux propriétaires Pu Liang Yi et Ying Gui sont actuellement en mode apprentissage express pour apprendre à faire rouler leur nouveau commerce.
« Une bonne business »
Mécanicien en aéronautique, Pu Liang Yi a passé cinq ans au Canada au début des années 2000 avant de retourner en Chine en 2009 pour soigner son père malade. La famille est ensuite revenue à Québec en 2013, mais le couple n’arrivait pas à se trouver un emploi dans son domaine. «Nous savions que les dépanneurs, c’est une bonne business. Nous connaissons des gens qui travaillent dans ce domaine», explique-t-il.
Se débrouillant avec un français de base, le couple croit qu’il apprendra par la force des choses, la majorité des villageois de Rivière-Bleue étant francophones. Leurs deux enfants de 8 et 6 ans ont suivi leurs premiers cours à l’école du village cette semaine.
«Les gens d’ici sont très gentils et nous sommes prêts à relever ce défi. Actuellement, c’est beaucoup de travail pour tout apprendre, convient pour sa part Mme Gui.